Présente pendant deux mois et demi,
la BIEC se faufile entre les autres activités populaires de la ville et devient le fil conducteur de l’été. Elle est en quelque sorte un festival « underground » qui ne demande qu’à être découvert par celui qui cherche une activité différente, une activité culturelle, une activité où la rencontre avec l’autre est importante.
La BIEC ne fait pas de bruit, elle n’explose pas en feux d’artifices, elle fait plutôt partie des plaisirs intimes, ceux qui touchent l’âme, ceux qui nous marquent et dont le souvenir restera impérissable.
La réputation de
la BIEC grandit toujours dans le monde. Elle devient une des manifestations importantes dans le milieu de l’estampe. Elle attire ainsi de grands noms de la discipline, ce qui complique considérablement le travail des membres du jury. Cette sixième édition présente donc les œuvres de 52 artistes de 23 pays, sélectionnés parmi plus de 300 inscriptions de plus d’une cinquantaine de pays.
L’exposition de
la BIEC est présentée, comme c’est maintenant la coutume, dans quatre des plus beaux lieux de Trois-Rivières : le Centre d’exposition Raymond-Lasnier de
la Maison de la culture,
la Galerie d’art du Parc du Manoir de Tonnancour,
la Maison Hertel-de-la-Fresnière et l’ancienne gare ferroviaire de Trois-Rivières. Ces quatre endroits se prêtent magnifiquement à l’exposition des œuvres selon certaines thématiques.